Pétales de roses, cueillies dans le Jardin de l'Amour.
L'humanité, encore infantile, chemine sur les sentiers douloureux de l'apprentissage spirituel.
Elle néglige les leçons très élevées enseignées par le Rabbi Nazaréen.
Elle ignore les précepteurs dévoués, envoyés par le Christ Planétaire, dont les exemples de vie devraient servir de forme d'instruction et de mécanisme de renouveau à adopter.
Elle avance distraite des engagements spirituels dus au Seigneur de la Vie. Elle oublie que ses esprits, qui transitent sur Terre, ne sont pas autonomes, car l'autonomie résulte de l'amour transformé en action, favorable à la vie collective.
Elle se croit indépendante, mais n'est rien d'autre qu'un automate guidé par les instincts primitifs de la planète.
La condition humaine palpite encore faiblement, désireuse de s'étendre dans des cerveaux dominés par les hormones et les substances lourdes.
Bien-aimés ! Purifiez vos âmes en libérant vos corps de la condition primitive d'êtres humains emprisonnés par la matière dense.
Contemplez l'exemple sublime de Celui qui fut le fils de mon corps dans la matière, et par le détachement, libérez-vous, en vous consacrant à aimer inconditionnellement les créatures comme Il nous l'a enseigné.
Seul l'amour pur et sincère peut inverser les polarités énergétiques de vos âmes.
Seul l'amour peut défaire les nœuds denses qui interrompent le libre flux de l'énergie corporelle.
Seul l'amour est capable de liquéfier et de libérer les substances qui coulent dans votre intimité cellulaire, procurant les impressions douces des esprits élevés au-dessus des douleurs terrestres.
Libérez-vous ! Libérez-vous ! Libérez-vous !
Marie
GESH - 26/05/2006 - Vitória, ES - Brésil
Voyance :
Et ainsi, Marie de Nazareth, mère de Jésus, a conclu son message en récitant comme s'il s'agissait d'un mantra : « libérez-vous... ».
À cet instant, des pétales de fleurs dégageant un parfum intense et doux de roses tombèrent sur le globe terrestre. Elles tombèrent solides et se transformèrent peu à peu en liquide, puis en vapeur, jusqu'à atteindre la surface de la Terre. Au contact de la surface, la vapeur se condensa, ressemblant à la brume nocturne.